MATERIEL POUR SCRAPPER

Ce qui me semble indispensable :
 
    -         un crayon de papier
    -         une règle (au moins30 cm)
    -         une gomme
    -         des feutres (surtout un noir fin et si possible, un blanc)
    -         une paire de ciseaux (grand modèle)
    -         une paire de ciseaux (les plus petits possible)
    -         un cutter (pratique avec une lame pivotante)
    -         un compas
    -         un tapis auto-cicatrisant
    -         un tube de colle (la mienne, sur les conseils de Sandrine Vachon, c’est la colle gel Scotch, tube vert)
    -         de l’adhésif double face
    -         des glue dots

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     -         des papiers unis (Canson, Bazzil…)
-         des papiers imprimés (qui vont vraiment permettre de réaliser de belles pages presque comme celles que l’on admire). Penser à choisir plusieurs papiers d’une même collection pour les accorder plus facilement lors de la réalisation d’une page.

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-         un album (j’ai acheté le premier en 30x30, sans l’avoir vraiment choisi. Si je ne l’ai pas trop regretté, j’aurais malgré tout préféré qu’il ait des poches plastiques pour protéger les pages. 
Pour le suivant, j’ai opté pour l’économie en récupérant un beau porte-vues 21x29,7 (d’où mes dernières pages dans ce format). Pour l’instant, je suis assez satisfaite de ce choix.

Ce qui va embellir :
 
-         des encres : à commencer par une encre « Distress Ink » pour vieillir les papiers (par exemple « Old paper »)
-         d’autres encres à séchage lent : « Color box » dans différentes teintes
-         des chalks
-         des crayons 3D (un noir et un blanc)
-         de la peinture acrylique

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-     des alphabets en stickers
-         des rubans (et toutes sortes de fibres : laine, raphia…)
-         des boutons
-         du fil à coudre
-         des brads
-         des flipettes
-         des œillets (et l’outil qui permet de les poser)
-         des trombones, des attache-parisiennes, des agrafes, des mini pinces à linge…
-         des fleurs (papier et tissu)
-         des ciseaux cranteurs
-         quelques tampons (surtout alphabets)
-         quelques perforatrices (si l’on aime)
-         quelques pochoirs

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-    de la poudre à embosser
-
         du glossy accents (qui peut remplacer l’embossage à chaud)
-         un décapeur thermique (à défaut du heat gun)
 
Ce que l’on peut récupérer à droite, à gauche :
 
-         les cartons d’emballage (genre boîte de céréales)
-         des films plastiques qui pourront servir de transparents
-         des filtres à café
-         les étiquettes de vêtements et toute sorte de petits emballages qui vont pouvoir servir de gabarits
-         les petits rubans cousus aux épaules de certains vêtements
-         des batonnets en bois (des glaces)
-         les languettes de canettes (qui serviront de passe-rubans)
-         des bricoles récupérées dans les jeux ou jouets des petits (stickers…)
-         des vieux bijoux, des petites clés inutiles…

et la liste n’est pas exhaustive. Je récupère énormément même si je suis loin d’avoir eu l’occasion d’utiliser toutes ces trouvailles !

Malheureusement, vouloir embellir ses pages suppose des investissements continuels. 
En plus, des techniques nouvelles apparaissent en permanence, ce qui oblige à acheter de nouveaux produits.
Mais, il faut savoir être raisonnable (d’ailleurs, je n’achète que lorsqu’il y a des promos et toujours avec le port gratuit), bien réfléchir avant d’investir (voir si la dépense vaut le coup). 
Personnellement, je préfère mettre de l’argent dans des nouvelles collections de papiers plutôt que dans certains produits que je n’utiliserais pas souvent. Ainsi, j’hésite à acheter des tampons (pourtant très tentants) que je trouve très chers et que je ne vais sans doute pas réutiliser sur plusieurs pages.
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